Concours International de Lyon
Notre Muscadet Sèvre et Maine sur Lie 2015 est médaillé en OR !
C’est avec grand plaisir que nous vous invitons à le découvrir au Domaine.
C’est avec grand plaisir que nous vous invitons à le découvrir au Domaine.
Nous sommes fiers de vous informer que le Muscadet Sèvre et Maine sur Lie 2015 a été récompensée avec une Médaille d’Argent au Challenge International du Vin 2016.
Dans une atmosphère royale, le berligou a fait une sortie remarquée. Ce vin royal est le dernier né de la production du domaine Poiron-Dabin à Château-Thébaud.
Pour le lancement officiel du berligou, la famille Poiron s’est glissée dans la peau des personnages et en costumes de l’époque : Jean-Michel, alias François II, avait à ses côtés, non pas Sandrine, mais Marguerite de Foix, et son frère, Laurent, était le vaillant Charles le Téméraire ; Floriane, avec grâce, tenait dignement son rôle d’Anne de Bretagne.
C’est en 2011 que Jean-Michel et Laurent franchissent le pas et plantent un hectare et demi de berligou, sur un sol schiste granitique tendre. En 2014, la première vendange est effectuée. « C’est un cépage pinot noir breton, rappelle François II. Il a passé un an en fûts de chêne, neufs, de la forêt du Gâvre, puis six mois en cuves verrées et deux mois en bouteilles. Aujourd’hui, nous dégustons, un berligou rouge, fruit de notre première récolte de 2014. » Toujours avec le même enthousiasme, il poursuit ; « Ce vin se révèle raffiné, noble, sur un superbe équilibre rond, fruité et épicé. » Charles le Téméraire confie : « Nous privilégions la qualité à la quantité. Nous avons fait 5 000 bouteilles en rouge. Sur la cuvée 2015, nous avons sorti un berligou rosé, la petite Brette, un vin raffiné, aux arômes épicés et de fruits rouges. » La zone géographique réservée pour le berligou correspond à celle du muscadet AOC (appellation d’origine contrôlée).
Source : Ouest-France
Samedi 28 Mai de 10h00 à 22h00
Chantegrolles, 44690 Château-Thébaud, France
Cépage nantais des rois de France, le Berligou renaît dans le vignoble nantais, après des siècles d’oubli. Le domaine Poiron-Dabin commercialise pour la première fois deux cuvées.
L’histoire, il ne la raconte pas. Il la vit. Casquette vissée sur la tête, Jean-Michel Poiron est un livre à lui tout seul. Surtout quand il s’agit de parler de Berligou. Un cépage oublié, consommé par les rois de France que l’exploitation de Château-Thébaud va faire renaître dans dix jours en lui redonnant ses lettres de noblesse. L’histoire du Berligou s’enracine dans la grande histoire de France. Et la chronologie locale.
Le récit du Berligou remonte à François II. Né à Clisson, le duc de Bretagne reçoit en 1460 un cadeau de son allié, cousin et ami, Charles le Téméraire, duc de Bourgogne. Le présent n’est autre qu’un plant de vigne, issu d’une sélection faite en Bourgogne. Le plant porte le nom Berligou. Le cépage est planté à Couëron « sur quelques hectares », rapporte Jean-Michel Poiron.
Source : L’Hebdo Sèvre et Maine
Le berligou, cépage réssucité à Couëron et Saint-Fiacre, est produit chez Poiron-Dabin en rouge et rosé.
Il est né de la patience et de la passion de quelques-uns. Car il fallait y croire. Les plants offerts par le duc de Bourgorgne Charles Le Téméraire à son cousin François II, duc de Bretagne, et d’Anne de Bretagne, en 1460, prolongent leur histoire. Ils avaient été plantés au château de la Chabossière à Couëron, forteresse disparu. Le Berligou suivit Anne de Bretagne, devenue reine, à la cour royale, enthousiasma Henri IV un siècle plus tard lorsqu’il signa l’edit de Nantes en 1958, puis plus tard Louis XIV.
Source : Presse-Océan
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